Enfin, les plus oiseaux les plus tip top du monde !!

Photo (1) : contrôle (relève de son num de bague) d’un individu non-reproducteur. Celui-ci était un peu curieux, il est venu me gratouiller la main avec son bec : pas agressif du tout, je dirais même que ce gratouillage s’apparentait à une caresse tellement ils peuvent être doux avec leur bec !!!

Photo (2et3) : petite pose casse-croûte. Le barbu, c’est Thomas (voir avant ds le blog, je sais sa barbe a encore poussée !) et l’autre ben c’est MMOOOAAAAAAAA !

Photo 4 : un contrôle de bague dans les règles : au plus près du sol pour pas trop stresser le zouzio. Je sais pas si je l’ai déjà expliqué, mais on voit que je suis chaussé de raquette : c’est pour la protection de la flore, on l’endommage moins ainsi.

Photo 5 : comme pr la plupart des photos de cet article, ce n’est pas moi qui l’ai prise. C’est Sylvain (un des deux VAT chimiste). C’est un très bon photographe. C’est pourquoi j’ai mis cette photo que je trouve particulièrement réussie.

Photo 6 : Enfin une petite boule de poils…. Euh boule de plume évidement !! Un petit poussin d’alba d’Ams qui doit avoir maximum une semaine max! Chacun à leur tour les parents couve le poussin jusqu’à ce qu’il soit autonome thermiquement. Cette période dure quelques semaines, après il n’est plus couvé, mais les parents continuent les voyages en mer pour se nourrir et aussi venir régurgiter de la nourriture à leur poussin.

Photo 7 : cette photo (tjs prise par sylvain) est déjà très jolie (comme d’hab) mais aussi très intéressante. L’albatros y figurant couve son œuf (celui-ci n’a pas encore éclot, c’est une question de jours). On peut distinguer une espèce de « cavité » entre les plumes : c’est la plaque incubatrice. Une zone dont les plumes sont espacées pour permettre à l’œuf (ou au poussin) d’être directement en contact avec la chaleur corporelle du parent.

Photo 8, 9 et 10 : la chronologie de l’attrapage d’un Albatros d’Amsterdam : 1) on s’approche doucement en rampant pour pas qu’il ne se sauve (ça loupe souvent), 2) on lui chope le bec et 3) on lui rabat les ailes le long du corps pour éviter qu’il ne se blesse et on lui chope les pattes pour la même raison. On garde le bec dans la main, ça c’est pour éviter qu’il me pète la gueule !! J’aime bien la photo ou il déplie ses ailes ça donne une idée de son envergure….

Au fait je sais pas si je vous l’ai déjà dis, mais ces gros piafs sont mes « petits » chouchous. C’est pas les plus jolis, c’est vrai, mais quand on en a un dans les mains on a vraiment l’impression que c’est un cadeau : on dirait une peluche géante, et en plus ça sent bon !!!

Pour info, celui là, je l’ai chopé pour lui remettre une bague plastique (Darvic pour les initiés).